L’instinct indispensable du communisme : la terreur

L'anarchie et la terreur sont des outils indispensables pour le marxisme et le communisme.

Marx et Engels, les fondateurs du communisme, ont défendu personnellement la violence et la terreur.

La terreur est devenue un élément inséparable de l'idéologie communiste avec Lénine, qui a mis la théorie de Marx en pratique. Ces paroles de Lénine le précise très clairement :

"En principe, nous n’avons jamais rejeté la terreur, et nous ne pouvons pas la rejeter." (Lénine: "Par où commencer", Œuvres Complètes, Moscou, 1961, Vol. 5, 19 p.)

"... QUAND LES GENS NOUS ACCUSENT DE DURETE, nous nous demandons comment ils peuvent oublier les rudiments du marxisme." ("Discours à l’état-major de la  Commission extraordinaire panrusse", Œuvres complètes, vol. 28, pp. 169-170)

Des rivières de sang ont été déversées en Russie, en Chine, en Corée, en Birmanie et à Cuba en raison de leur idéologie communiste.

Des millions de personnes ont perdu la vie et beaucoup d'autres ont été paralysés.

Rien qu’au 20ème siècle, 120 millions de personnes comprenant des hommes, des femmes, des enfants, des jeunes, et même des bébés et des jeunes enfants, ont perdu la vie à cause de cette idéologie froide, dure et sauvage, connue sous le nom du communisme. Et ce ne sont que les chiffres officiels : les chiffres réels de ceux qui sont morts à cause de l'oppression communiste sont beaucoup plus élevés. Même ceux qui ont survécu vivaient  dans un état constant de peur parce que l'idéologie communiste considérait le terrorisme comme un outil indispensable et elle a obligé ses adhérents à le commettre. Par exemple, c'est de cette façon que Lénine a appris à ses compagnons communistes la nécessité de commettre des actes de terreur contre l'armée et la police.

1) en dirigeant la foule ; 2) en attaquant les policiers à chaque fois qu'une occasion favorable se présente et en saisissant leurs armes ; 3) en sauvant les personnes arrêtées ou blessées, quand il y a seulement quelques policiers ; 4) en montant sur les toits ou sur les étages supérieurs des maisons, etc. et en aspergeant de pierres ou en versant de l'eau bouillante sur les troupes, etc.

... lancer des attaques dans des circonstances favorables, ce n’est pas seulement le droit de tous les révolutionnaires, mais aussi leur simple devoir. Le meurtre des espions, des policiers, des gendarmes, l'explosion des postes de police, la libération des prisonniers, la confiscation des fonds publics alloués aux besoins du soulèvement… chaque détachement de l'armée révolutionnaire doit être prêt à commencer ces opérations à tout moment." (Lénine, Œuvres complètes, Editions du Progrès, 1972, Moscou, vol. 9, pp. 420-424)

"Les propagandistes doivent procurer à chaque groupe des recettes brèves et simples pour fabriquer des bombes... Les escouades doivent commencer tout de suite la formation militaire par le lancement immédiat des opérations. Certains peuvent immédiatement tuer un espion ou faire exploser un poste de police, d'autres peuvent cambrioler une banque pour confisquer des fonds alloués au soulèvement..." (Lénine, Œuvres complètes, vol. 9, p. 346)

Dans son  discours lors de la réunion des travailleurs, Lénine a décrit à quel point la terreur était indispensable pour leur cause avec les termes les plus directes et horribles :

"Nous ne pouvons pas nous attendre à atteindre quelque chose sans le recours du terrorisme : les spéculateurs doivent être fusillés sur place." (Réunion du Présidium du Soviet de Petrograd avec les délégués des Organisations d’approvisionnement alimentaire", Œuvres complètes, vol. 26, p. 501)

Lénine lui-même a écrit les lignes suivantes :

"Nous ne sommes pas du tout opposés aux exécutions politiques... Les actes terroristes individuels en connexion directe et immédiate avec le mouvement de masse peuvent avoir une valeur. "(Lénine, Œuvres complètes, vol. 35, pp. 237-239)

Comme nous l'avons vu, le communisme commande la mort, la destruction, l'infliction de la peur, la terreur, le fait d’attaquer et de tuer les troupes et les officiers de police de son propre pays, sans même sourciller. Dans ce système, les émotions humaines, telles que la compassion, la pitié et la conscience sont anéanties. Il attend des gens qu'ils se comportent comme des "animaux", de la même manière qu'un animal sauvage qui se bat à mort avec les membres de sa propre espèce pour la nourriture ou pour le territoire. Le communisme est basé sur le darwinisme, et le darwinisme enseigne aux gens qu'ils sont tout simplement une sorte d'animal, et qu'ils doivent lutter pour survivre comme les animaux.

Ce désir de verser du sang est très clair quand on examine les publications communistes :

Dans le journal bolchevique Krasnaya Gazeta, Lénine préconise la noyade de toute la Russie dans le sang :

"Nous transformerons nos cœurs en acier que nous tempérerons dans le feu de la souffrance et dans le sang des combattants pour la liberté. Nous rendrons nos cœurs cruels, durs, et rigides pour qu'aucune miséricorde ne les saisisse et que nos cœurs ne tremblent pas à la vue d'une mer de sang de l'ennemi. Sans compassion, sans clémence, nous tuerons nos ennemis par vingtaines, par centaines. Qu'ils soient des milliers ; qu'ils se noient dans leur sang. Pour le sang de Lénine et Ouritski, Zinoviev et Volodarski. Qu'il y ait des inondations du sang de la bourgeoisie – plus de sang, autant que possible." (Krasnaya Gazeta, le 1 septembre, 1918)

Les écrits et les déclarations de presque tous les dirigeants communistes, pas seulement de Lénine, rendent bien clair que la terreur est un élément indissociable de l'idéologie communiste. Par exemple, Felix Dzerjinski, un dirigeant communiste de son époque et le premier chef de la police secrète notoire, la Tchéka, a déclaré dans une interview :

"Nous défendons la terreur organisée – elle devrait être franchement admise. La terreur est une nécessité absolue pendant les périodes de révolution." (Felix Dzerjinski, le 14 juillet 1918, interviewé dans Novaya Zhizn)

Trotski, qui a été initialement rejeté par les Bolcheviks sous prétexte qu’il n’était pas suffisamment cruel et qu'il ne cherchait pas à verser le sang de la même manière qu’ils le faisaient, a également  admis que le communisme ne pourrait exister sans terreur :

"Mais la révolution a besoin de la classe révolutionnaire qui devrait parvenir à ses fins par tous les moyens mis à sa disposition, si nécessaire, par un soulèvement armé ; si nécessaire, par le terrorisme." (Léon Trotski, "Terrorisme et Communisme", Chapitre 4 : le terrorisme)

Mao Tse Toung, le dictateur notoire personnellement responsable de la mort de plus de 60 millions de personnes, décrit comment le communisme ne peut pas être adopté en l'absence de violence :

"Une révolution est une insurrection, un acte de violence par lequel une classe renverse une autre." (Mao Tse Toung, "Le petit livre rouge", Chapitre 2 : classes et la lutte de classe)

Aujourd'hui en Turquie, le PKK, une organisation marxiste-léniniste, communiste et stalinienne, emploie les mêmes outils utilisés par ces dirigeants sanguinaires. Sous l'influence de l'endoctrinement darwinien qui considère la vie comme un champ de bataille, ces militants séparatistes sont capables d'abattre sans hésiter les bébés et les personnes âgées. Ils martyrisent nos troupes et nos policiers et ils ont recours à toutes les formes de terrorisme. Puisqu’ils ne considèrent pas eux-mêmes et les autres comme des entités créées par Dieu ayant une âme, un esprit et une conscience, ils sont capables de traiter les autres, de la même manière que les animaux traitent les autres animaux. Ce fléau peut prendre fin seulement grâce à l'élimination de la fondation de cette violence, en d'autres termes, le darwinisme.

Une vaste diffusion de l'information scientifique anti-communiste et anti-darwiniste est indispensable pour lutter contre un mouvement séparatiste communiste qui recueille l'adhésion par la propagande communiste.
 



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